Bon pour les agriculteurs
Des produits vraiment engagés
Les agriculteurs sont souvent les perdants dans la chaîne de valeur des produits transformés. Relégués à de simples fabricants de matières premières, ils peinent parfois à vivre décemment de leur travail exigeant. Fidèles à nos racines paysannes, nous avons souhaité que les agriculteurs ne soient pas les derniers maillons de la chaîne de valeur. Nous leur assurons donc une juste rémunération et développons des partenariats en direct pour limiter les intermédiaires.
Des partenariats directs
Afin de faire redescendre le maximum de valeur aux agriculteurs, le moyen le plus simple est de limiter les intermédiaires et de s’approvisionner en direct. Cela leur permet de fixer eux-mêmes un prix qui correspond réellement au prix de l’ingrédient sans dépendre des cours mondiaux et des bouleversements géopolitiques qui peuvent avoir des conséquences dramatiques sur le prix imposé aux agriculteurs. Nous achetons ainsi en direct des graines de lin, de quinoa, de courges, de l’huile de colza et certaines légumineuses.
Des partenariats avec des coopératives agricoles
Certains ingrédients nécessitent une première transformation avant de pouvoir être utilisés dans nos recettes. Ces ingrédients sont transformés par un outil coopératif.
C’est le cas de nos légumes franciliens issus de la légumerie de La Coopérative Bio d’Ile-de-France ainsi que de notre purée de tomates issues de la coopérative Tomates d’Aquitaines. Ces deux coopératives ont à coeur de proposer un juste prix aux agriculteurs coopérateurs.
Du fromage AOP dans nos recettes
Certaines de nos recettes contiennent du fromage. Nous avons souhaité sélectionner un fromage qui puisse assurer une juste rémunération aux éleveurs laitiers dont les conditions sont parmi les plus difficiles dans le maillage agricole français. Nous avons fait le choix du Cantal AOP, un fromage d’Auvergne issu de vaches rustiques, les Salers, et d’un cahier des charges exigeants et adaptés à cette région. Le lait répondant à ce cahier des charges est bien mieux rémunéré que du lait classique ce qui permet aux éleveurs d’Auvergne dont les conditions topographiques sont complexes de gagner correctement leur vie. Le Cantal souffre cependant d’un manque de popularité qui engendre un plafonnement voire une décroissance des besoins en lait de l’AOP Cantal.